"Il doute", "Je sais qu’il est partagé"… Pourquoi Macron avance à tout petits pas sur la fin de vie

En matière de fin de vie, la seule certitude, c’est qu’il n’y en a pas. Pour preuve, les déclarations de différents ministres interpellés sur le sujet. Interrogé le 14 novembre dernier sur France Inter, le porte-parole du gouvernement Olivier Véran évoquait l’examen du projet de loi attendu sur le sujet "au printemps prochain."
Le 8 novembre, Agnès Firmin Le Bodo, ministre déléguée chargée de l’organisation territoriale et des professions de santé, évoquait plutôt auprès du "Monde" une première lecture à l’Assemblée en "janvier ou février." De nouveau interrogée sur ce dossier jeudi 16 novembre, la ministre déléguée n’osait plus se montrer aussi précise, tablant sur un examen au Parlement "en 2024."