Par exemple, les algues brunes laminaires Laminaria spp et Saccharina spp, ainsi que l’algue rouge Gracilaria verruqueuse, sont particulièrement riches en iode. C’est pourquoi l’agence déconseille aux personnes présentant un dysfonctionnement thyroïdien, une maladie cardiaque ou une insuffisance rénale, à celles suivant un traitement par un médicament contenant de l’iode ou du lithium, et aux femmes enceintes ou allaitantes, de consommer des aliments et de compléments alimentaires contenant des algues. La vigilance est de mise aussi pour les enfants, les données étant insuffisantes. En outre, l’Anses considère que, pour les personnes présentant une déficience en iode, "il n’est pas pertinent de consommer des produits contenant des algues dans le but de corriger cette déficience".
L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a récemment estimé "non négligeable" le risque d’excès d’apport en iode lié à la consommation de produits à base d’algues, qu’elles soient utilisées fraîches, séchées ou encore en compléments alimentaires.
L'interdiction des écrans chez les enfants de moins de 3 ans peut-elle être efficace?
Francois Laissy
Non
Comment peut-on supprimer les écrans quand je vois que les enseignants donnent les devoirs par écran interposés parfois à des heur... Lire plus