Les magouilles ont duré plus d’un an, entre septembre 2018 et février 2020, jusqu’à ce que le médecin généraliste, spécialisé en acupuncture, et la Caisse primaire d’assurance maladie découvrent le pot-aux-roses, donnant lieu à une enquête de la police de sûreté départementale de Reims. Pendant cette longue période, la secrétaire médicale avait pris l’habitude de détourner les chèques des patients qui n’avaient pas rempli l’ordre, révèle le quotidien local L’Union. 79 au total, pour un montant de 3.100 euros. L’employée, qui s’occupait par ailleurs de la comptabilité, piochait aussi “de temps en temps” dans la caisse du cabinet. 500 euros ont été dérobés. Décrite comme une personne “fragile”, la secrétaire médicale de 47 ans falsifiait également des ordonnances en imitant la signature de son employeur pour se prescrire des médicaments. Licenciée dès que la fraude a été découverte, la quadragénaire a été placée en garde à vue le 28 novembre, lors de laquelle elle a reconnu les faits. Elle a ainsi été poursuivie pour “vol, abus de confiance, faux et usage de faux”. Présentée au parquet, elle a été condamnée à cinq mois de prison avec sursis avec obligation de se soigner et de rembourser les sommes détournées “en fonction de ses moyens”. [avec L’Union]
Faut-il dérembourser les cures thermales ?
François Pl
Oui
Dans les années 80 j'ai été suivre (sans prescription - je suis Belge) une "cure thermale" en Auvergne, suite à une promotion tour... Lire plus
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