En effet, des cas de complications infectieuses ont été signalés aux services de pharmacovigilance, parfois mortels, chez des adultes et des enfants. « L'ibuprofène et le kétoprofène peuvent masquer les symptômes comme la fièvre ou la douleur et donc conduire à un retard de diagnostic et de prise en charge du patient. Cela peut avoir pour conséquence un risque de complications graves de l'infection » explique l‘ANSM. L’agence rappel donc la nécessité d’utiliser en priorité le paracétamol en cas de douleur ou fièvre « notamment dans un contexte d'infection courante ». En outre, il est important de prescrire le médicament sur la durée la plus courte possible (3 jours si fièvre, 5 jours si douleurs), à la posologie la plus faible, et d’éviter les AINS en cas de varicelle.
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a envoyé une alerte pour interpeler les professionnels de santé sur le risque infectieux associé à la prescription d’AINS, et en particulier l’ibuprofène ou le kétoprofène qui sont particulièrement utilisés en automédication.
Médecins, faut-il signer l'accord conventionnel proposé par la Cnam?
Julien Mir
Non
Ya rien de neuf. C'est décevant... 30€ c'est à peine le rattrapage de l'inflation : où en sera t-on en 2029 ? Aucune ouverture de ... Lire plus