En 2017, l'Anses avait mené une étude montrant la présence de nombreux résidus potentiellement à risque dans les protections hygiéniques. Au menu, phtalates, glyphosate, hydrocarbures aromatiques… Deux ans plus tard, les choses ne se sont pas vraiment améliorées, note 60 millions de consommateurs dans son dernier numéro. "Les contaminations par des résidus de molécules à risque persistent", note le magazine. Une quinzaine de produits de différentes marques ont été testés, et la moitié contiennent encore des substances indésirables, notamment suspectées d'être cancérigène ou de perturber la fertilité. Même les marques revendiquant l'utilisation de produits biologiques sont concernées. Des résidus de glyphosate ont été retrouvés dans les tampons Natracare, et les tampons JHO contiennent glyphosate et dioxines. Pour leur défense, précise le magazine, les fabricants expliquent que ces produits ne sont pas ajoutés intentionnellement. Insuffisant aux yeux de 60 millions de consommateurs. "A quand une prise de conscience collective de la filière pour écarter définitivement ces résidus ?" [Avec 60 millions de consommateurs]
De nombreux tampons, serviettes hygiéniques ou protège-slips contiennent encore des substances indésirables, note le magazine 60 millions de consommateurs dans son dernier numéro.
L'interdiction des écrans chez les enfants de moins de 3 ans peut-elle être efficace?
Francois Laissy
Non
Comment peut-on supprimer les écrans quand je vois que les enseignants donnent les devoirs par écran interposés parfois à des heur... Lire plus