Trump atteint de la maladie d'Alzheimer ? La démonstration d'un journaliste américain
Beaucoup de questions ont déjà été soulevées autour de la santé mentale de Donald Trump. Cette fois, un journaliste américain affirme que le président américain présenterait les premiers signes de la maladie d'Alzheimer. Démonstration à l'appui.
Le journaliste David Pakman est le présentateur vedette d'un talk-show distribué sur une centaine de chaînes aux Etats-Unis. Il y a quelques semaines, il s'était interrogé sur les capacités de Donald Trump à lire un texte complexe de manière fluide, se demandant même si le président savait "vraiment" lire.
Premiers signes de la maladie d'Alzheimer
Cette fois, il se demande si ces difficultés de lecture ne seraient pas liées à l'apparition des premiers signes de la maladie d'Alzheimer. Et présente sa démonstration de manière tout à fait sérieuse. Selon David Pakman, nombreux sont les signes qui permettent d'avancer cette hypothèse : les comportements erratiques du président, ses brusques changements d’humeur, ses réponses bizarres et inappropriées lors des conférences de presse, les oublis récurrents, l’incapacité à se concentrer, tout comme l’absence de gêne ou de freins sociaux qui peuvent le conduire à se moquer en public d’un journaliste handicapé en l’imitant grossièrement ou à dire, candidement, qu’il est "le président le plus intelligent et le plus capable" de l’histoire des Etats-Unis… Autre indice selon David Pakman, la pauvreté stupéfiante de vocabulaire du président américain qui truffe toutes ses interventions publiques des mêmes mots basiques : génial, formidable, nul, bonne chose, mauvaise chose, bonne personne, mauvaise personne…
Symptômes de démence
Pour étayer son hypothèse, le journaliste s’est penché sur les conférences de presse de trois présidents des Etats-Unis : Ronald Reagan, chez qui les premiers symptômes de démence seraient apparus à partir de 1994. George Bush senior, encore en pleine forme intellectuelle à plus de 95 ans. Et Donald Trump. Il n’a analysé que leurs prises de parole spontanées, pas des discours écrits à l’avance par des collaborateurs. Résultat à partir de 1994, date du diagnostic, les discours de Reagan n’ont effectivement cessé de s’appauvrir, et les mots-valises tels que "chose", "bien", "mal", répétés, sont devenus de plus en fréquents. En revanche, on ne remarque rien de tel chez George Bush, dont les prises de parole sont restées au fil des ans tout aussi affûtées et précises qu’elles l’étaient au tout début de sa présidence. Autre indice selon lui : une vidéo du jeune Donald Trump, alors âgé d’une quarantaine d’années, montre que sans être un orateur hors pair, l’homme d’affaires était alors tout à fait capable d’avoir un discours articulé, cohérent, avec un vocabulaire raisonnablement élaboré. Et il y a aussi ces pertes d’équilibre dont le président semble souffrir, comme dans cette séquence à la Maison-Blanche, où on le voit s'accrocher au bras de la Première ministre britannique Theresa May pour descendre quelques marches, et qui pourraient être d'autre symptômes alarmants.
Incapable d’exercer correctement sa fonction
Nombreux sont les observateurs qui relèveront la légèreté de l'analyse du journaliste. Mais il n'est pas le seul à s'interroger sur la santé mentale du président. Ce 20 avril se tiendra la première conférence annuelle de l'association "Duty to Warn", devoir d’alerte, qui regroupe des professionnels de santé convaincus que Donald Trump est malade, et qu’il est incapable d’exercer correctement sa fonction. [Avec Nouvelobs.com]
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