A Besançon, une association de victimes a été créée après la mise en examen d'un médecin anesthésiste pour empoisonnements avec préméditation. Leur objectif est notamment de préparer la bataille judiciaire à venir.
Elles se disent victimes du médecin anesthésiste mis en examen à Besançon pour empoisonnement et viennent de se constituer en association. Elles sont pour le moment trois. Sandra, victime d’un arrêt cardiaque au bloc opératoire le 11 janvier 2017 à la clinique Saint-Vincent. Amandine, dont le père est décédé en 2008, également à la clinique Saint-Vincent. Et Bénédicte, victime de deux arrêts cardiaques en 2009 à la polyclinique de Franche-Comté alors qu'elle devait se faire opérer de la vésicule. Elles entendent ainsi se soutenir, rompre leur isolement et préparer la bataille judiciaire à venir. Actuellement, une quarantaine d'événements indésirables graves survenus à Besançon - dont près de vingt morts suspectes - sont examinés. Le médecin anesthésiste est sous contrôle judiciaire, mais le parquet a fait appel et demande son placement en détention provisoire. Pour contacter l'association : avapolvi@laposte.net [Avec Francebleu.fr]
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Francois Laissy
Non
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