Ils montrent qu'un régime alimentaire sain de type méditerranéen est associé à des composants fonctionnels et taxonomiques spécifiques du microbiome intestinal, et que ses associations protectrices avec la santé cardiométabolique varient en fonction de la composition microbienne. En particulier, l'association protectrice entre l'adhésion au régime méditerranéen et le risque de maladie cardiométabolique était significativement plus forte chez les participants dont l'abondance en Prevotella copri était diminuée. Ces résultats font progresser le concept de nutrition de précision et permettent d’apporter des informations sur les approches diététiques les plus efficaces pour la prévention des maladies cardiométaboliques médiées par des altérations du microbiome intestinal.
Dépenses de santé : faut-il responsabiliser davantage les patients?

Francois Cordier
Oui
Il ne sera question de responsabilité de l'usager d'un système de prestation quel qu'il soit, que le jour où on sortira de l'envel... Lire plus
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