Exerçant à l'hôpital Saint-Louis, cette infirmière de 35 ans a mis fin à ses jours le week-end dernier, en rentrant du travail. Pour les syndicats, c'est le "suicide de trop".
Selon ses collègues, l'infirmière "vivait très mal une mobilité imposée, qui l’obligeait à travailler au bloc opératoire alors qu’elle se destinait à une autre spécialité", rapporte Olivier Youinou, du syndicat Sud-Santé. Une enquête de police a été ouverte pour tenter de comprendre les raisons qui ont poussé cette soignante à mettre fin à ses jours. "Il n’y a pas à ce stade de lien établi entre ce geste et le contexte professionnel", précise de son côté la direction générale de l’AP-HP. Mais pour les syndicats, c'est le "suicide de trop". Les organisations mettent en cause "l'inertie de l'institution", qui enchaîne les drames : en février, un infirmier s'était jeté de la terrasse de l'hôpital George-Pompidou et en mars, une infirmière de Cochin s'était suicidée dans son bureau. [avec Leparisien.fr]
L'interdiction des écrans chez les enfants de moins de 3 ans peut-elle être efficace?
Francois Laissy
Non
Comment peut-on supprimer les écrans quand je vois que les enseignants donnent les devoirs par écran interposés parfois à des heur... Lire plus