D’après les informations de Var matin, un homme de 88 ans s’est présenté aux urgences toulonnaise avec un obus coincé dans l'anus. L’hôpital a alors dû superviser l'organisation d’une évacuation partielle de l’établissement vers le hall principal, et notamment des urgences adultes et pédiatrique. Les services les plus éloignés ont été confinés, avec l’aide de la sécurité et des pompiers sur place. Pendant quelques heures, les nouveaux patients ont dû être détournés vers d'autres hôpitaux en raison de l'alerte à la bombe. Seuls les services gynécologie et maternité ont fonctionné quasi normalement. A son arrivée, le patient a affirmé "que l’obus était démilitarisé", mais il a fallu le vérifier explique l'hôpital qui a dû faire appel à une unité de déminage pour estimer le danger. En attendant, le Samu a monté une tente à l’extérieur de l’établissement pour ne pas faire courir de risque aux personnes soignées en réanimation, juste au-dessus des urgences. Finalement, les démineurs ont écarté toute possibilité d’explosion. "Ils nous ont rassurés en nous disant que c’était un obus de collection de la Première Guerre mondiale, offert aux Poilus", précise une blouse blanche. L’obus a pu être retiré à temps du corps de la personne âgée. "Il faisait cinq ou six centimètres de diamètre sur vingt de long", rapporte un témoin, qui souligne que "le patient est en bonne santé". Depuis l'incident, la photo de l'engin circule à l'hôpital… [Avec Varmatin.com]
Un homme de 88 ans s'est présenté samedi 17 décembre aux urgences de l'hôpital Sainte-Musse, à Toulon avec un obus coincé dans l'anus. Les démineurs ont dû intervenir. Les urgences adultes et pédiatriques ont été évacuées.
Les négociations conventionnelles entre les médecins et l'Assurance maladie doivent-elles reprendre?
Jerry Tulassan
Non
La négociation est une série d'entretiens, de démarches entreprises pour parvenir à un accord, pour conclure une affaire ou mettre... Lire plus