Ce pédiatre, âgé d'une quarantaine d'années, est décédé lundi 10 décembre d'une infection invasive à méningocoque B alors qu'il effectuait un remplacement dans l'établissement.
"Tous les personnels, les patients et leurs entourages qui ont été en contact proche avec ce praticien ont été identifiés et contactés individuellement pour leur recommander de prendre le traitement prophylactique adapté", a annoncé l'ARS de Corse dans un communiqué diffusé mardi 11 décembre, précisant que pour les méningocoques de groupe B, il n'y a pas de recommandation de vaccination. D'après France 3, le médecin sortait d'une garde lorsqu'il a dû être pris en charge aux urgences du CHU lundi 10 décembre. L'ARS se veut rassurante : le germe était "très fragile", il ne "survit pas dans le milieu extérieur". Il n'y a donc pas lieu de désinfecter des locaux ou de prendre des mesures d'éviction pour les enfants ou professionnels qui ont été en contact avec le médecin. "La transmission se fait essentiellement par les sécrétions oro-pharyngées (toux, postillons…) lors de contacts rapprochés et prolongés en face à face avec la personne porteuse de la bactérie", précise le communiqué de l'autorité sanitaire. [avec France 3]
L'interdiction des écrans chez les enfants de moins de 3 ans peut-elle être efficace?
Gregory Cuffel
Oui
Tout le problème réside dans les familles ou le niveau socio-culturel est bas. Il faut de la législation il me semble, des campagn... Lire plus