La praticienne à l'origine de l'accident d'accouchement qui a coûté la vie à une jeune mère le 26 septembre dernier a vu sa deuxième demande de remise en liberté acceptée. Cette anesthésiste belge était en détention provisoire depuis sa mise en examen. Elle devra désormais se tenir à disposition de la justice. La chambre de l'instruction a entendu le principal argument des avocates de l'anesthésiste, à savoir la garantie de représentation assurée par un logement en France, rapporte Sud-Ouest. Lors de sa précédente demande de libération, le médecin avait proposé un logement en Belgique. Cette demande avait été rejetée. En plus de l'interdiction d'exercer la médecine en France ou ailleurs et de quitter le territoire français, sauf autorisation de la juge d'instruction, l'anesthésiste devra notamment établir sa résidence en France (elle a donné une adresse en Dordogne), pointer à la gendarmerie, remettre son passeport à la juge d'instruction et s'acquitter d'un caution de 50 000 euros avant le 19 décembre, afin de garantir sa représentation devant la justice et de réparer une partie des dommages. [Avec Sudouest.fr]
L'interdiction des écrans chez les enfants de moins de 3 ans peut-elle être efficace?
Francois Laissy
Non
Comment peut-on supprimer les écrans quand je vois que les enseignants donnent les devoirs par écran interposés parfois à des heur... Lire plus