Les deux syndicats craignent que le report des interventions aboutisse à des retards induits de prise en charge dont l'effet délétère a été constaté lors de la première vague. Ils demandent donc que dans les régions où les interventions sont déprogrammées, les médecins spécialistes des plateaux techniques lourds soient systématiquement intégrés aux cellules de crise et non pas écartés. Ils rappellent que lors de la première vague les établissements ont démontré leur capacité à déprogrammer les interventions en moins de 24H lorsque la situation sanitaire l'a exigé. Selon eux, il n'y a pas donc pas lieu d'anticiper exagérément les décisions de déprogrammation.
Dépenses de santé : faut-il responsabiliser davantage les patients?

Dela Lie
Oui
Non mais pas de la manière dont le propose le gouvernement. Les petits consommateurs, qui cotisent autant que les autres, ne serai... Lire plus
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