Il souhaitait que l’information soit rendue publique. “M. Godard a eu recours à l’assistance légale en Suisse d’un départ volontaire suite à de “multiples pathologies invalidantes” selon les termes du rapport médical”, a fait savoir le conseiller de la famille du cinéaste franco-suisse, décédé mardi 13 septembre à l’âge de 91 ans. En Suisse, cette pratique est autorisée sous certaines conditions, bien que non réglementée. En 2014, Jean-Luc Godard affirmait, dans une interview accordée à la chaîne RTS : “Je ne suis pas anxieux de poursuivre à toute force. Si je suis trop malade, je n’ai aucune envie d’être traîné dans une brouette.”
L’annonce du décès du cinéaste, icône de la Nouvelle Vague, est survenue le même jour où le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a jugé dans un avis, qu'une "aide active à mourir" pourrait s'appliquer en France, mais "à certaines conditions strictes". De son côté, Emmanuel Macron a annoncé qu’une consultation citoyenne allait être ouverte sur le sujet, en vue d'une possible loi d'ici fin 2023. [avec Le Monde] Crédit photo : Gary Stevens
Médecins étrangers : faut-il supprimer le concours et le remplacer par une sélection sur dossier ?
Angélique Zecchi-Cabanes
Non
C’est tout de même un monde que l’on considère qu’il faut à un jeune francais tres bon élève 10 ans pour faire médecine mais qu’un... Lire plus