Mais il y a aussi des variations d’un pays à l’autre : 11,7 % en Russie, 12,2 % en Chine, 17,8 % en France, 22,3 % au Brésil, 31,5 % aux États-Unis. Les tatoués sont plus jeunes que les non-tatoués (36 ans en moyenne contre 41,9 ans), et dans tous les pays à l’exception de la Russie les femmes se font un peu plus tatouer que les hommes (19,4 % contre 17,6 %). « Les motivations pour recourir aux tatouages incluent principalement la célébration d’un événement marquant (25,6 %), l’embellissement du corps (24,6 %), puis l’expression de l’individualité (14,8 %), et diffèrent selon les sexes, les femmes déclarant plus volontiers un désir d’embellissement corporel, et les hommes se faisant plutôt tatouer pour tester leur seuil de douleur, des raisons culturelles ou religieuses, d’appartenance à un groupe, le souhait d’exprimer son affection », indiquent Nicolas Kluger, et al. (hôpital Bichat-Claude-Bernard, Paris).
Une enquête conduite entre septembre 2018 et janvier 2019 dans cinq pays sur 11 079 personnes d’au moins 15 ans estime le pourcentage de sujets tatoués à globalement 18,5 % (10,6 % avec un tatouage et 7,9 % avec plusieurs tatouages).
Les négociations conventionnelles entre les médecins et l'Assurance maladie doivent-elles reprendre?
Jerry Tulassan
Non
La négociation est une série d'entretiens, de démarches entreprises pour parvenir à un accord, pour conclure une affaire ou mettre... Lire plus