Vaccins anti-Covid à ARNm: une aide pour déclarer les éventuels troubles menstruels
En particulier, il est demandé aux médecins, devant tout symptôme de troubles menstruels évoqué par une patiente en post-vaccination, de vérifier, en cas de traitement hormonal, la possibilité d’une mauvaise observance, ou de vomissements à l’origine d’une interruption de traitement. Et si la patiente ne prend pas de traitement hormonal, il faut vérifier qu’il ne s’agit pas d’une symptomatologie aigüe, l’absence de grossesse, ainsi que la possibilité d’une maladie gynécologique concomitante à la vaccination. « Si les symptômes persistent le mois suivant, il est nécessaire de lancer des investigations et d’envisager une telle pathologie sous-jacente » précise l’ANSM. Les effets indésirables graves ou inattendus doivent être déclarés sur le portail signalement.social-sante.gouv.fr. Les troubles menstruels post-vaccination font l’objet d’une surveillance renforcée. Une réévaluation européenne est en cours. Dans ces premières conclusions rendues publiques fin juin, le PRAC avait conclu que les preuves étaient pour le moment insuffisantes pour établir le lien entre les vaccins ARN et les troubles menstruels.
Médecins, faut-il signer l'accord conventionnel proposé par la Cnam?
Thierry Lemoine
Oui
Il ne faut pas rêver: la très grande majorité des médecins secteur 1 ne se déconventionnera pas ( pour les secteurs 2, la questio... Lire plus