Après des mois d'attente du vaccin, nous voilà réduits à compter un à un la poignée de gens vaccinés

Chi va piano va sano… Sauf que là, nous n’avançons pas, nous sommes à l’arrêt ou presque. J’hésite entre me réjouir de la prudence et me désespérer de cette lenteur administrative incompréhensible.
Nous avons été patients tant au propre qu’au figuré.
Nous avons accepté, de courber l’échine, de fermer nos commerces, nos théâtres, nos librairies, nos centres culturels, nos restaurants, nos universités, nos commerces “non essentiels” au nom de l’impériosité du contexte sanitaire.
Comment entendre aujourd’hui que “l’urgence ne serait plus si urgente” comme le parodiaient les Inconnus?
À...
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