"Je veux m'assurer que l'accès à l'IVG aujourd'hui est toujours aussi simple", a indiqué Agnès Buzyn ce mardi, sur RMC. La ministre a demandé un état des lieux de l'accès à l'IVG pour s'assurer "qu'il n'y a pas une augmentation du nombre de médecins qui font valoir la clause de conscience". "Ce qui me rassure, sans me rassurer complètement, c'est qu'aujourd'hui le nombre d'IVG en France reste stable depuis dix ans", a ajouté la ministre. "Ça veut dire qu'il n'y a pas de difficulté d'accès, mais par endroits, il y a certainement des difficultés d'accéder à l'IVG dans des délais raisonnables". Cette annonce fait suite aux propos du président du Syngof, le Dr Bertrand de Rochambeau, assimilant l'IVG à un "homicide". Agnès Buzyn avait fermement condamné ces propos, rappelant que "l'IVG est un droit trop souvent menacé pour lequel il convient de ne relâcher aucun effort".
Les médecins sont-ils de plus en plus nombreux à faire valoir leur clause de conscience pour refuser de pratiquer des IVG ? C'est ce que redoute Agnès Buzyn, qui a demandé un "état des lieux" de l'accès à l'IVG.
La consultation longue à 60 euros pour les patients de plus de 80 ans et/ou handicapés est-elle une bonne mesure ?
A Rem
Non
Une fois par an en sortie d’hospitalisation ou critère strict. Il n’y a ici aucune revalorisation réelle au vu des cotations exist... Lire plus